Une trousse à outils numériques viendra simplifier les communications sur la collecte sélective

La trousse à outils de Éco Entreprises Québec pour informer la population sur les changements qui viendront bientôt dans la collecte sélective a été acheminée à tous nos partenaires municipaux.

La population découvrira sous peu les nouvelles façons de faire par des communications simplifiées et harmonisées à l’échelle du Québec, appuyées par une campagne de sensibilisation de Bac Impact cet automne.

C’est un autre jalon de la démarche de Éco Entreprises Québec qui met en relief l’importance accordée à l’information et aux communications. Mais aussi, cela illustre la collaboration entretenue avec nos partenaires municipaux, lesquels sont clés pour que le Québec récupère plus et mieux. 

Contenants, emballages, imprimés; c’est tout.

Parmi les changements les plus remarquables qui viendront transformer le système, la mise en place d’une seule liste de matières récupérées est certainement la plus attendue.  En plus d’être plus simple à comprendre, elle permettra à la population de faire le bon geste de tri : contenants, emballages, imprimés, c’est tout.

Des outils numériques simples et adaptables, pensés pour les citoyens :

  • Une liste standardisée des matières acceptées dans la collecte sélective, la seule pour l’ensemble du territoire québécois ;
  • Une fiche d’utilisation et de manipulation adéquates des bacs roulants ;
  • Un modèle de billet de courtoisie sous forme d’accroche-porte pour rappeler les bonnes pratiques en matière de récupération ;
  • Des messages à publier sur les réseaux sociaux et les plateformes de communication, prêts pour utilisation.
  • Pour consulter le guide et les outils créés, il suffit de visiter la page « Modernisation du système de collecte sélective / pour les municipalités ». Tout le matériel a été préparé sous Bac Impact, notre nouvelle référence en collecte sélective.

Une contribution à l’économie circulaire à l’échelle de la province

La modernisation de collecte sélective est possible parce que les entreprises mettant en marché les contenants, emballages, imprimés au Québec, sont responsables de la gestion de ceux-ci en fin de vie et financent l’entièreté des coûts de ce système.